Artiste aux multiples facettes, Charles M’Bouss dit Jean Gab’1 a « le CV le plus âpre du hip-hop français », selon le journal Libération. Rappeur, comédien, acteur, champion de France de street-workout mais aussi enfant de la DDASS, braqueur, détenu, membre d’un gang, …Difficile de qualifier Jean Gab’1 tant son parcours est mouvementé et sa vie riche en rebondissements. Il en fait le récit dans son autobiographie « Sur la tombe de ma mère » co-écrite avec Julien Gangnet.
Résumé
Charles M’Bouss dit Jean Gab’1 raconte avec la gouaille qu’on lui connaît sa vie tumultueuse de gangster et de rappeur. Après le meurtre de sa mère par son père, Charles est placé en foyer. Il brule de partir à la conquête du Paris des années 1980, peuplé des pionniers de la génération hip-hop. Maniant la langue comme un 9 millimètres, usant d’un argot savoureux et de tournures dignes des dialogues des Tontons Flingueurs, il est fait pour le rap. Pour l’heure, néanmoins, c’est une autre voie qu’il choisit : le braquage. Au milieu de la violence qui a été le quotidien de Jean Gab’1, la poésie ne cesse d’affleurer. (Source : éditeur)